Le gouvernement du Canada, de la province du Quebec et les promoteurs de Montreal avaient réuni leur force et envoyé une délégation à Londres pour présenter au Maître commercial de la Formule 1 un plan de sauvetage de leur Grand Prix, enlevé du calendrier 2009. Dix millions de dollars ont été mis sur la table à cette occasion mais celui qui gère mieux ses affaires que son couple a été inflexible. Si bien que les Canadiens ont dû reprendre leur argent et repartir chez eux tête basse.
Sans doute, mais aussi avec le verbe haut. Nos cousins insistent aujourd'hui sur les prétentions financières « irréalistes » d'un Tonton Bernie qui voulait des garanties sonnantes et trébuchantes conséquentes sur cinq ans.

Les officiels canadiens regrettent que cette fenêtre sur le monde qu'était la venue de la Formule 1 se soit ainsi refermée. Mais rappelle que si l'épreuve était désirée, il n'était pas question qu'elle se fasse à n'importe quel prix. Et surtout pas à celui de Bernie.















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