Il y a Kerpen en Allemagne, il y a Tavullia en Italie, il y aura, à présent, Oviedo en Espagne. Comme Schumi, comme Rossi, Fernando Alonso, pourtant à peine au début de sa gloire, a décidé de s'impliquer particulièrement sur les terres qui l'ont vu grandir.

Un sentiment noble, en guise de reconnaissance et de remerciement, utile au développement économique de la région natale, celle des Asturies.

C'est d'ailleurs avec le gouvernement régional que le champion a mis au point le projet. Le financement est commun et il prendra la forme, dans un premier temps, d'un musée renfermant les trophées symboles des conquêtes du fier ibère. Sans oublier les fripes sacralisées par la sudation du champion dans l'effort.

Formule 1: Oviedo, le musée vivant d'Alonso

De sa période Minardi succèdera bien sûr sa marche glorieuse produite sous l'enseigne du losange, et puis c'est tout. A 25 ans, on a beau être exceptionnel on en est pas encore à avoir écrit une épopée. Si bien que le musée risque bien de s'agrandir au fur et à mesure des saisons qui passent. Et il y aurait même un projet de complexe de karting. Là où tout commence sur les lieux de la nativité, on est plus très loin du pèlerinage. Ouverture, dès cet automne.