En soi, avoir accepté de courir contre Korjus est un défi que Bianchi prend le pari de relever, au sein d’une structure que son équipier connaît déjà. Deuxième défi pour Bianchi, accepter de redescendre d’un cran dans la hiérarchie de la filière monoplace puisqu’il vient des GP2. En même temps, cette saison, avec leur nouveau V8, les WSR 3.5 se rapprocheront encore davantage des GP2…


N’empêche, la partie est loin d’être jouée d’avance pour Bianchi, toujours pilote Ferrari par ailleurs. Cela ne rendra que plus passionnant le fait de suivre sa saison en WSR. Dans l’opération, au passage, Tech 1 Racing se dote d’une paire tout simplement redoutable.