Le principal secteur visé est la filiale bancaire de PSA qui a reçu l'aide de l'État français pour continuer à exister, on parle d'une garantie publique de 7 milliards d'euros mais aussi de 85,9 millions d'euros de subventions et d'avances remboursables. À l'origine, PS estimait que cette garantie ne pouvait être assimilée à une aide de l'État ce que contestait l'Union Européenne.
« À ce stade, la Commission entend vérifier si les hypothèses sur lesquelles se fonde le plan de restructuration pour rétablir la viabilité de l'entreprise dans le long terme sans continuer à recourir à des aides publiques sont suffisamment réalistes, notamment au regard de l'évolution récente du marché automobile. »
Un porte-parole de PSA a indiqué qu'il n'y avait là rien d'inquiétant ni d'anormal : « Ce n'est pas une surprise, c'est une procédure courante, usuelle et normale. Nous allons collaborer avec l'Union Européenne. »















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