Il est vingt-deux heures, chicanons, une fois.


Patienter n’étant pas le style de la maison, affirmons tout de go : ce qui rapproche les deux DS3, Citroën et Nintendo, mais c’est le jeu ! l’entertainment si vous préférez.


Voilà en effet deux objets qui permettent à l’homme ou la femme qui est en nous de jouer, de s’éclater, de retomber en enfance. Mieux, de conférer une dimension nouvelle à l’enfance de l’art (automobile).


Le jeu est bien réel au volant d’une DS3. Car on ne choisit pas un tel véhicule sans être un joueur patenté, un trickster en jambes (pied gauche, pied droit, etc.). Le jeu se poursuit même dans le virtuel. C’est pour cela que nous sommes invités à jouer, par publicité interposée.


Passons à la DS3 de Nintendo. Pas la peine de vous faire un schéma. L’aspect virtuel de la chose est me semble-t-il évident. Quant au réel, eh bien… vous savez d’une part ce qui arrive lorsqu’à force d’abuser du volant virtuel on se retrouve le nez dans le guidon du réel et, d’autre part : le jeu avec une DS3 quelle joyeuse et dure addiction !