Il est vingt-deux heures et, une fois n’est pas coutume, parlons politique, politique + histoire.
Car s’il fallait n’avancer qu’une seule preuve de l’étroite relation entre automobile, sport automobile, et politique, voire histoire politique, Ferrari nous l’a offerte avec sa 150° Italia, sa nouvelle Formule 1 de la saison 2011 (passons ici sur l’épisode rocambolesque de « l’affaire F150 »).
Sa F1 de 2011, Ferrari l’a voulue célébration du cent cinquantième anniversaire de l’unification de l’Italie. Il aurait été difficile de trouver une référence plus chargée de politique, d’histoire politique pour le patronyme de la Formule 1 Ferrari 2011. Encore que… je parierais que les commentaires vont fuser pour proposer un patronyme plus évocateur de l’histoire politique contemporaine de l’Italie.
Mais le plus remarquable, dans cette histoire, c’est que le prénom de cette Ferrari F1 renvoie à une histoire, à une histoire politique, qui dépasse largement celle de la seule Italie. Comme toujours dès lors qu’il s’agit d’histoire, d’histoire politique, tant les événements de cet ordre sont rarement déliés les uns des autres.














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