Il est vingt-deux heures, l’heure de tous les transports. Ce soir, je vous propose de nous transporter au début du vingtième siècle, à un moment où le débat sur le genre du néologisme « automobile », tout juste sorti des cerveaux, faisait rage.
Car la question, à l’époque, était bien de savoir s’il fallait dire « un automobile » ou « une automobile ». L’époque, si elle n’était pas encore aux gender studies, était, comme aujourd’hui encore (ne continuons-nous pas à parler, dans notre belle langue, de droits de « l’Homme »), largement dominée par les hommes. Et c’est bien de « un automobile » qu’il convenait de parler il y a plus de cent ans.
Ce n’est que grâce à l’usage populaire que le féminin l’a emporté. Encore que… lorsqu’il s’agit de parler d’une carrosserie en particulier, le masculin est souvent de mise. Ne dit-on pas, le plus souvent, par exemple, un Mercedes GL, puisqu’il s’agit d’un 4x4 ou d’un SUV ?
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