En dehors du Vieux continent, les ventes ont donc progressé de 4,3 % à 646 274 véhicules. À cette occasion, la Russie est devenue le deuxième marché du groupe devant le Brésil. Les ventes de la marque au losange y ont augmenté de 9,5 % à 114 189 unités. Une percée rendue possible grâce aux succès du SUV Duster, de Logan et de Sandero.

Le constructeur peut aussi remercier sa marque low-cost, Dacia, dont les ventes ont augmenté de 16,5 %. Celles-ci représentent désormais 16,2 % des ventes totales du groupe avec 211 438 exemplaires écoulés. Cependant, ces bons résultats ne font pas oublier les difficultés rencontrées en Europe où les ventes ont reculé de 7,3 % à 656 580 voitures. Renault souffre de la morosité de ses trois principaux marchés européens : la France, l'Allemagne et l'Italie.

Avec 1,3 million de voitures vendues, Renault maintient sa place sur l'échiquier mondial où il représente toujours 3,2 % des ventes totales.