Historiquement, Volvo est un constructeur populaire sur son marché domestique, la Suède, mais aussi aux Etats-Unis. Aujourd'hui, le visage des bilans annuels de la marque a bien changé. Les US restent importants pour Volvo, mais les ventes au pays de l'Oncle Sam chutent, tandis qu'elles explosent en Chine (+ 45 % l'an dernier). Il y a évidemment une raison à cela : c'est le rachat de Volvo par le constructeur chinois Geely.
Beaucoup affirment aujourd'hui au sein de Volvo que la marque a perdu son âme, et que l'influence chinoise est bien plus grande qu'elle n'y paraît. Pourtant, il y a bien une chose que la Chine et ses investissements pourront apporter à Volvo, ce sont les volumes de ventes. Avec un peu plus de 400 000 autos vendues l'an dernier, Volvo reste loin derrière les BMW, Audi ou Mercedes.
Mais le patron de Geely, Li Shufu, affiche déjà les ambitions du constructeur scandinave pour les annnées à venir : « l'objectif à long terme (au delà de 2020) est de dépasser le million de véhicules vendus par an ». Ce serait une progression considérable qui reste tout à fait envisageable vu le renouvellement attendu chez Volvo au niveau produit et vu la courbe potentielle de croissance chinoise.















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