
Quasiment deux années de production des modèles parmi les plus vendus de la marque vont devoir repasser en atelier.
Quasiment deux années de production des modèles parmi les plus vendus de la marque vont devoir repasser en atelier.
Même si, sous le capot des modèles allemands, il ne porte pas cette appellation, il s’agit bien du même bloc, et donc des mêmes problèmes, que chez ses cousines tricolores.
Parmi les problèmes en série qui concerne le groupe Stellantis, et donc la marque au double chevron, il y a celui des émissions de ce moteur diesel.
Les -0,8 % enregistrés sur le nombre de transactions de seconde main semblent, de prime abord, décevants. Mais les apparences sont parfois trompeuses.
Si la chute des immatriculations de voitures neuves a de quoi inquiéter les constructeurs et les concessionnaires, la forte demande en occasion a de quoi rassurer ces derniers.
Une partie de deux modèles produits il y a quelques mois ont reçu une pièce défectueuse.
Des défauts de la batterie de traction ont été mis à jour lors de contrôles qualité postproduction.
Une bonne partie de la production de la marque anglaise est sujette à un défaut de turbocompresseur.
… mais cela n’a, cette fois-ci, rien à voir avec Takata.
Le descendant spirituel du Land Rover originel est affecté d’un grave problème de sécurité.
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