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Fiat Barchetta vs MG F, des roadsters sympas et pas chers, dès 4 800 €

Dans Rétro / Youngtimer

Stéphane Schlesinger

C’est le moment d’acheter sa décapotable, avant que les cours ne remontent aux beaux jours. Alliant style et exclusivité, la Fiat et la MG constituent des offres originales et peu onéreuses. Mais elles ne s’adressent pas au même public.

Fiat Barchetta vs MG F, des roadsters sympas et pas chers, dès 4 800 €

Les forces en présence

Lignes simples et délicieusement rétros pour la Fiat Barchetta, ici en 1995. Qui devinerait qu'elle cache une plateforme de Punto ?
Lignes simples et délicieusement rétros pour la Fiat Barchetta, ici en 1995. Qui devinerait qu'elle cache une plateforme de Punto ?

Fiat Barchetta (1995 - 2005) : roadster, 4 cylindres en ligne, 1,7 l atmo, 130 ch, 1 060 kg, 200 km/h, à partir de 5 000 €.

 

La MG F, ici une auto de 2000, joue la carte de la modernité. Elle aussi cache des éléments de structure d'une citadine : la Rover 100. Photo : Benzin.fr.
La MG F, ici une auto de 2000, joue la carte de la modernité. Elle aussi cache des éléments de structure d'une citadine : la Rover 100. Photo : Benzin.fr.

MG F 1.8 (1995 - 2002) : roadster, 4 cylindres en ligne, 1,8 l atmo, 120 ch, 1 060 kg, 193 km/h, à partir de 4 800 €.

 

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Dans les années 90, la mode était aux voitures ludiques, notamment les cabriolets. Suivant une tendance initiée par la Mazda MX-5, plusieurs constructeurs ont décidé de proposer un roadster, et parmi eux Alfa Romeo et Fiat dégainent les premiers en dégainant leurs Spider 916 et Barchetta fin 1994, sauf qu’elles ne sont pas commercialisées immédiatement. Elles le seront en 1995, année où apparaissent les BMW Z3 et MG F. Mercedes-Benz y viendra en 1996, avec son fameux SLK, et le marché des découvrables se développera de façon importante… mais pas pérenne. Est-ce l’effet 11 septembre 2001 et le désir de sécurité qu’il a engendré ? Toujours est-il que les petites découvrables vont toutes disparaître, à l’exception du BMW Z4.

 

Présentation : des séductions bien différentes

Une très jolie Fiat Barchetta Naxos, une série limitée de 2001, signalée par ses accessoires couleur argent, comme les rétroviseurs.
Une très jolie Fiat Barchetta Naxos, une série limitée de 2001, signalée par ses accessoires couleur argent, comme les rétroviseurs.

Grand spécialiste du roadster sympa et pas cher dans les années 60/70, où il proposait les 850 et 124 Spider, Fiat abandonne la catégorie au début des années 80. Il mettra plus de dix ans à y revenir, après avoir connu une période noire (une de plus). C’est la Punto, lancée fin 1993, qui lui permet d’en sortir, et sur sa base, le géant italien développe une charmante petite découvrable à deux places : la Barchetta.

Dessinée par Andreas Zapatinas, elle séduit par ses courbes évocatrices des sixties, et si certains passionnés lui reprochent de n’être qu’une traction, la Fiat réplique avec son moteur. En effet, elle inaugure un 1,8 l, version 4-cylindres du bloc Pratola Serra équipant la grande Lancia Kappa en 5 cylindres. Nanti d’un déphaseur d’arbre à cames d’admission (une première chez Fiat) et de 16 soupapes, le moteur de la Barchetta développe 130 ch, et emmène le petit roadster italien à plus de 200 km/h.

Le saute-vent est un accessoire indispensable à la Fiat Barchetta, envahie de remous d'air sans lui. Ici, une version restylée de 2004.
Le saute-vent est un accessoire indispensable à la Fiat Barchetta, envahie de remous d'air sans lui. Ici, une version restylée de 2004.

Il profite donc d’un vrai tempérament sportif. Annoncé par des photos fin 1994, il est exposé pour la première fois au salon de Genève 1995 et commercialisé dans la foulée. A 128 600 F (27 800 € actuels selon l’Insee), la Fiat est plus attractive que ses rivales, mais son équipement paraît aujourd’hui succinct. Jantes alliage, ABS et airbag passagers demeurent en option, alors que la capote est manuelle.

La version Pack (135 800 F) intègre l’antibloqueur de freins et les rétros électriques. Les ventes partent bien initialement (10 000 unités vendues en 1996) mais le process de fabrication est complexe : les caisses en blanc sont réalisées chez Ilcas, puis peintes chez Bertone, avant d’être livrées chez Maggiora, à Chivasso, où l’assemblage final a lieu avec le moteurs en provenance du sud de l’Italie. Conséquence, la Barchetta n’évoluera que très peu, se déclinant çà et là en une série limitée comme la Naxos.

L’alimentation change en 1998, la version de base est supprimée en 1999, un 3e feu stop s’installe sur le couvercle de malle en 2000 puis… la production s’interrompt en 2002. Pourquoi ? Parce que Maggiora a fait faillite ! Elle reprend en 2003, dans l’usine Fiat de Mirafiori, le constructeur ayant entre-temps redessiné le bouclier avant, revu légèrement le cockpit, enrichi l’équipement et monté de nouvelles jantes.

Dès lors, la Barchetta s’offre en deux versions, la base et la Spider Europa, qui ajoute le cuir et la clim notamment. Cela ne durera pas : la Barchetta tire sa révérence en 2005, après avoir été produite à 57 791 exemplaires. Un succès mitigé donc, ce qui n'incitera par Fiat à lui donner une descendante.

 

A sa sortie en 1995, la MG F a surpris par la position centrale de son moteur, imposant une poupe relativement haute.
A sa sortie en 1995, la MG F a surpris par la position centrale de son moteur, imposant une poupe relativement haute.

Tout comme Fiat, MG a vendu avec succès des roadsters, la B ayant même longtemps été la plus diffusée au monde en ce domaine avant d’être dépassée par la Mazda MX-5. Arrêtée en 1980, la MG B, ne sera pas remplacée. Du moins, pas directement. En effet, dans les années 80, on planche sur une descendance, le projet F16, mais le groupe British Leyland, auquel appartient MG, manque cruellement de finances.

Renommé Rover Group en 1986, il est racheté par British Aerospace en 1988 et bénéficie d’argent frais mais il faut attendre l’électrochoc MX-5 en 1989 pour que le feu vert soit réellement donné à un futur roadster MG. Le projet F16 renaît, et se voit renommé Phoenix. Entre traction, moteur avant/propulsion, et moteur central/propulsion, on retient cette dernière formule en 1991. En effet, les tests clientèle montrent un rejet de la traction pour une voiture-plaisir découvrable, et on n’a pas les fonds pour développer une plate-forme moteur avant/roues arrière motrices.

En revanche, si on place l’ensemble moteur/boîte au centre de l’auto, on peut tout à fait se procurer la plate-forme ad-hoc. Comment ? On prend celle de la Rover 100 puis on la retourne, afin de placer la mécanique derrière les passagers. Il fallait y penser ! De la citadine, on reprend, en l’améliorant, la suspension Hydragas, un système hydropneumatique conçu par Alex Moulton, qui fonctionne sans pression, contrairement à celui de Citroën. Le moteur sera un K-Series, dont la MG F inaugurera une variante 1,8 l, et le tout s’emballe dans une carrosserie peaufinée par Gerry McGovern, actuellement chez Land Rover. Présentée en 1995, à Genève, la MG F est très bien accueillie, les spécialistes appréciant son architecture.

La MG F, comme la Barchetta, peut s'équiper d'un hard-top optionnel, toujours agréable en hiver. En 2000, une boîte à variation continue Steptronic sera proposée en option, pour les amateurs de conduite douce.
La MG F, comme la Barchetta, peut s'équiper d'un hard-top optionnel, toujours agréable en hiver. En 2000, une boîte à variation continue Steptronic sera proposée en option, pour les amateurs de conduite douce.

D'un look résolument moderne, au contraire des Barchetta et Z3, l’anglaise s’en tient pourtant à 120 ch. Elle effectue néanmoins un très bon démarrage commercial, même si elle n’arrive en France que début 1996. Juste avant l’arrivée de la version 145 ch, dotée d’un déphaseur d’arbre à cames. En France, la MG F est assez chère : 143 750 F en 120 ch (30 400 € actuels selon l’Insee) et 165 900 F (35 100 € actuels) en 145 ch, cette dernière s’équipant de série de l’ABS et de la sellerie cuir.

En 1998, l’ABS et le double airbag frontal intègrent la dotation de série, sans augmentation de prix. Mais, si un léger restylage intervient en 1999 (apportant un moteur de 110 ch), les développements pas plus loin. En effet, BMW a pris le contrôle du Rover Group en 1994 et bride la MG F (pas de vente aux USA, pas de forte puissance) pour qu’elle ne gêne pas sa Z3 ! La marque bavaroise revend pourtant en 2000 le Rover Group qui, du coup, se sent libre de proposer en 2001 une variante 160 ch, la Trophy 160, une série limitée à 2 000 unités. La MG F tire sa révérence juste après, produite à 77 000 exemplaires, un score très honorable. Elle est remplacée par la TF, qui en est une évolution profonde, non sans avoir été déclinée en plusieurs séries limitées.

 

Fiabilité/entretien : plus fiable Fiat

Hormis le déphaseur d'arbre à cames, le moteur de la Fiat Barchetta ne présente pas de faiblesse notable.
Hormis le déphaseur d'arbre à cames, le moteur de la Fiat Barchetta ne présente pas de faiblesse notable.

Même si son moteur est inédit, le 1,8 l de la Barchetta ne pose pas de soucis, hormis le déphaseur que l’on changera avec la courroie de distribution (s’il fait un bruit de diesel). On relève aussi des infiltrations d’eau dans les projecteurs et quelques pépins électriques, rarement graves. Cela dit, la corrosion peut sévèrement attaquer les soubassements, en particulier sur les autos venant de zones très salées en hiver : à bien inspecter avant achat. Pour le reste, la Fiat vieillit classiquement et se montre aisée à entretenir.

Le moteur K de la MG F se révèle notoirement fragile du joint de culasse, relativement cher à changer à cause du manque d'accès.
Le moteur K de la MG F se révèle notoirement fragile du joint de culasse, relativement cher à changer à cause du manque d'accès.

Sur la MG F, le problème sera d’abord le joint de culasse : trop faible, il claque vite, surtout que ça chauffe sous le capot arrière. Vu la piètre accessibilité, son remplacement se montre assez onéreux (près de 2 000 €). Ensuite, la suspension Hydragas est sujette à des fuites, tandis que les sphères se dégonflent. Pire, elles sont difficiles à dégotter et les spécialistes sachant les réparer sont rares. Enfin, l’anglaise est au moins aussi sensible à la corrosion des soubassements que la Fiat. La MG F peut durer longtemps mais elle doit être méticuleusement entretenue.

Avantage : Fiat. Plus solide mécaniquement et plus facile à entretenir, la Fiat prend ici le dessus sur sa rivale.

 

Vie à bord : douillette anglaise

Très stylé et rétro, l'habitacle de la Fiat Barchetta, ici en 1995, se révèle aussi assez spartiate.
Très stylé et rétro, l'habitacle de la Fiat Barchetta, ici en 1995, se révèle aussi assez spartiate.

A bord de la Fiat, on apprécie le dessin original et ludique de la planche de bord. Moins la finition relativement légère. Les passagers profitent de deux places convenables, sans plus, mais les sièges se révèlent très agréables. L’étagère située derrière les passagers est bien pratique, surtout avec un coffre limité en capacité. Pour sa part, la capote se déploie en un tournemain. En somme, on a optimisé de façon rationnelle un volume utile assez restreint.

Le cockpit de la MG F apparaît nettement plus chatoyant que celui de la Barchetta. Les versions en conduite à droite existent sur le marché français, et sont bien moins chères que celles en conduite à gauche.
Le cockpit de la MG F apparaît nettement plus chatoyant que celui de la Barchetta. Les versions en conduite à droite existent sur le marché français, et sont bien moins chères que celles en conduite à gauche.

Dans la MG, on a affaire à un cockpit nettement plus raffiné et cosy que celui de la Fiat. Les plastiques sont plus cossus, la présentation moins originale mais plus chic. On profite d’une belle sellerie ainsi que d’un peu plus d’espace que dans la Barchetta. Dans certaines versions, on a même droit à un très bel habillage cuir/bois qui correspond magnifiquement à l’image qu’on a des anglaises. Simple, la capote se manie très aisément. Reste que l’assemblage n’est pas meilleur que celui de l’italienne.

Avantage : MG F. Mieux présentée que la Fiat, plus accueillante et spacieuse, l’anglaise traite ses passagers avec davantage d’égards.

 

Au volant : joie de vivre latine

Sur route, la Barchetta se signale par son moteur performant, son comportement dynamique et son confort assez relatif.
Sur route, la Barchetta se signale par son moteur performant, son comportement dynamique et son confort assez relatif.

A bord de la Barchetta, on profite d’une position de conduite bien étudiée et favorisée par le volant réglable. D’emblée, le moteur émet une sonorité sympa, puis se révèle souple. Linéaire, il prend ensuite aisément ses 7 000 tr/mn, tout en administrant de belles reprises à mi-régime : il pousse drôlement bien, et la boîte judicieusement étagée le soutient comme il faut. Elle se révèle fort plaisante à manier, tout comme le volant, précis et consistant.

Assisté de façon hydraulique, il permet de bien sentir la route, tout comme la suspension plutôt ferme. Celle-ci, alliée à de bons trains roulants, garantit un comportement routier efficace et plaisant, même si le confort n’est pas le point fort de cette maniable et agile Barchetta. Ça secoue un peu, les remous sont envahissants quand le filet n’est pas en place, le niveau sonore est du genre élevé, mais on fait le plein de sensations. Le compromis obtenu a de quoi séduire les passionnés !

A peine moins vive que la Fiat, la MG F est beaucoup plus confortable mais délivre moins de sensations. Affaire de choix.
A peine moins vive que la Fiat, la MG F est beaucoup plus confortable mais délivre moins de sensations. Affaire de choix.

Dans la MG, on apprécie également la position de conduite et le volant réglable. Le moteur ne sonne pas comme dans la Fiat, déjà parce que le bruit vient de derrière soi ! Il est plutôt agréable, et la souplesse du bloc ne fait aucun doute. De plus, en usage courant, il procure des performances presque équivalentes à celles de la Fiat. Celle-ci se démarque surtout à haut régime.

La F est donc un peu moins vive, moins réactive par ses commandes mais voilà, sa suspension se révèle beaucoup plus confortable que celle de la Barchetta, et la tenue de route tout aussi bonne. En revanche, à la limite, l’anglaise communiquera moins (direction à assistance électrique) et sera moins prévisible que l’italienne, mais là n’est pas la question. La MG F se destine à un usage plus paisible, elle s’adaptera mieux aux longs trajets, d’autant qu’elle est mieux insonorisée et isolée des remous, mais ne pourra distiller autant de sensations.

Avantage : égalité. La Fiat est plus vivante et performante, la MG plus confortable et silencieuse, les deux tenues de route sont équivalentes. A voir selon vos priorités donc.

 

Budget : belle égalité

La poupe de la Fiat Barchetta est au moins aussi réussie que la proue. En 2000, elle s'équipera d'un 3e feu stop.
La poupe de la Fiat Barchetta est au moins aussi réussie que la proue. En 2000, elle s'équipera d'un 3e feu stop.

Pour une Barchetta belle mais pas parfaite on comptera un minimum de 5 000 €, avec environ 150 000 km compteur. A 6 000 €, on en déniche aux alentours de 100 000 km, et en poussant à 7 500 €, on peut même se dénicher une série limitée Riviera (cuir rouge) affichant 85 000 km. A 10 000 €, ce sera même une phase 2 affichant 50 000 km. La consommation ? Comptez 8 l/100 km en moyenne.

La poupe de la MG F s'inspire nettement de celle du concept EX-E de 1985.
La poupe de la MG F s'inspire nettement de celle du concept EX-E de 1985.

La MG F 120 ch navigue dans les mêmes eaux que la Fiat. Prévoyez 4 800 € pour un bel exemplaire de 150 000 km ne nécessitant aucun frais immédiat. A 6 000 €, le kilométrage peut chuter aux environs de 100 000 km, alors qu’à 9 500 €, on s’offre une très jolie auto totalisant 75 000 km environ. Comme l’italienne, l’anglaise avale 8 l/100 km en moyenne.

Avantage : égalité. L’abondance de l’offre empêche la Barchetta d’être trop chère, alors qu’au contraire, sa relative rareté permet à la MG de conserver une certaine valeur.

 

Bilan : une Fiat plus raisonnable

En 2003, la Fiat Barchetta bénéficie d'un nouveau bouclier lui conférant un air plus agressif.
En 2003, la Fiat Barchetta bénéficie d'un nouveau bouclier lui conférant un air plus agressif.

Favorisant les sensations au détriment du confort (qui demeure acceptable), la Fiat Barchetta se montre performante, efficace et très agréable en conduite dynamique. Elle profite en sus d’un moteur solide et facile à entretenir, mais il faudra faire attention à l’état des soubassements.

En 1999, la MG F, légèrement restylée, se signale par un bouclier légèrement modifié.
En 1999, la MG F, légèrement restylée, se signale par un bouclier légèrement modifié.

Tenant aussi bien la route, la MG F se révèle nettement plus confortable que la Fiat et, mieux isolée, se prêtera davantage aux longs trajets. Revers de la médaille, elle distille moins de sensations et n’est pas tout à fait aussi véloce. Hélas, son moteur et surtout sa suspension demandent une attention aiguisée sous peine de causer des soucis. Elle rouille également et ses spécialistes sont moins nombreux que ceux de l’italienne.

Thème Avantage
Fiabilité/entretien Fiat
Vie à bord MG
Au volant Egalité
Budget Egalilité
Verdict Fiat

 

 

Pour trouver des annonces, rendez-vous sur le site de La Centrale : Fiat Barchetta et MG F.

 

 

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