
La quatrième édition du Baromètre des Villes Cyclables 2025, qui analyse la qualité cyclable des villes de France apporte son lot de surprises, tant bonnes que mauvaises. Voici un bilan des meilleurs et plus mauvais élèves.
La quatrième édition du Baromètre des Villes Cyclables 2025, qui analyse la qualité cyclable des villes de France apporte son lot de surprises, tant bonnes que mauvaises. Voici un bilan des meilleurs et plus mauvais élèves.
Visiblement, les Français sont attachés au vélo, mais ils ne sont que la moitié à l’utiliser régulièrement. Car c’est bien le loisir qui prime, avant l’aspect pratique et économique. Quant à l’écologie ? Ce n’est clairement pas un critère prépondérant.
Une technologie qui permettrait d’éviter les accidents entre cyclistes et voitures sonne comme une excellente idée. Mais ça sonne un peu comme une dystopie orwellienne cette histoire.
Une exfiltration grâce à un vélo livré par drone, voilà qui pourrait être le pitch d’un film sur Netflix jugé comme irréaliste. Mais la guerre a le don de dépasser la réalité.
Bonus fiscal, leasing attractif, image verte : le vélo en entreprise n’est plus un gadget écolo pour start-up labélisée Bio. Grâce à des incitations bien ficelées, de plus en plus de boîtes – grandes ou petites – proposent à leurs collaborateurs des vélos de fonction. Moins cher qu’une voiture, plus crédible qu’un baby-foot, le vélo s’impose comme un outil RH… et un levier fiscal. C’est que la RSE n’est pas vraiment faite pour être rentable à la base.
Quand un SUV électrique massif rencontre la légèreté d’un vélo de compétition haut en couleur, ça donne quoi ? Une smart #5 bariolée à la sauce Trek, le tout teinté d’un style Lidl.
En -300, Archimède a déclaré : « donnez-moi un point fixe et un levier, et je soulèverai la terre ». En 2025, il aurait pu dire : « donnez-moi une trottinette, et je me mangerai la terre ». Et cette vidéo le prouve, non sans une certaine limite.
Rouler à vélo est une chose, transporter des enfants à vélo en est une autre. Un peu comme avoir des passagers en voiture, la personne qui conduit est la personne responsable. Et voici pourquoi.
Prendre le break du « daron » pour en faire une voiture suiveuse de cyclistes. Voilà qui aurait pu être le point de départ de la Škoda L&K 130, le nouveau projet des étudiants de la Škoda Academy.
Des cyclistes qui grillent les feux, c’est courant. Mais peut-on justifier cela (si tant est que cela puisse être justifiable) pour une économie de temps ? Ou bien est-ce autre chose ?
SPONSORISE