Selon l’expression consacrée, il faut un œil averti pour distinguer la Mini restylée de sa devancière. Les spécialistes noteront donc l’apparition d’un nouveau bouclier avant et de feux arrière à diodes. Ce lifting, au demeurant, vaut pour toutes les carrosseries – berline, break Clubman et cabriolet -, et les versions musclées Cooper S et John Cooper Works on droit à leurs signes distinctifs – des écopes métalliques dans la partie inférieure de la calandre. Moralité, le grand chambardement a lieu sous le capot. Les motorisations nées de la collaboration entre le français PSA et BMW sont envoyées à la retraite et remplacées par des moteurs 100 % allemands. Est concernée, de fait, toute la gamme essence, la cylindrée restant au demeurant la même, soit 1.6 litre. Les puissances des diverses variantes ne sont pas, pour l’heure, connues. Les diesels, pour leur part, continuent l’aventure après avoir subi une sévère cure de dépollution. Commercialisation en fin d’année. 

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