5. 3 000 km en Alfa Romeo Giulia : à retenir

Conforme à ce que l’on attendait d’elle et d’un véhicule de sa catégorie, notre Giulia ne nous a nullement déçus lors de notre voyage en Italie. À l’aise dans toutes les situations ou presque, elle réussit aisément cette épreuve longue de 3 000 km.

3 000 km en Alfa Romeo Giulia - Bilan vie à bord : un tableau presque idyllique

Voici sûrement le domaine dans lequel la Giulia pêche le plus. Même si le dessin de la planche de bord est agréable, c’est le système multimédia qui concentre toutes les critiques. Pour le reste, la Giulia affiche des bons matériaux mais un cran en dessous de la concurrence allemande.

3 000 km en Alfa Romeo Giula- Bilan confort : royale

Cela fait partie des critères d’une grande berline et cette Giulia tient ses promesses. Le confort des sièges, leur maintien ou l’amortissement n’a jamais été pris en défaut, même quand le bitume se dégradait ou que le relief devenait plus accidenté. Tout cela va de pair avec un amortissement particulièrement efficace qui assure un bon compromis confort/dynamisme.

3 000 km en Alfa Romeo Giula - Bilan « sur la route » : conforme à ses gènes

Quand on achète une Alfa Romeo, on recherche un certain tempérament, que ce soit au niveau de la motorisation ou du comportement. Si le caractère de notre 4 cylindres n’a pas le brio et la volupté d’un 6 cylindres, il s’avère très agréable, répondant présent dans toutes les situations. Même constat pour la tenue de route. On retrouve la patte des ingénieurs italiens qui ont fait le choix d’une propulsion, ce qui garantit un toucher de route plus gratifiant qu’avec une simple traction. Résultat, les inscriptions en virages sont précises et la conduite très plaisante pour l'occupant de la place avant gauche.