L'annonce du quotidien transalpin « La Stampa » aura donc fait long feu. Non, Carlos Slim ne s'est pas porté acquéreur du site de Brackley qui était le bras armé de Honda en Formule 1 avant que le constructeur ne décide de mettre un terme à son aventure sportive.
C'est le fils du milliardaire mexicain qui s'est chargé de la mise au point, tandis que l'on s'accorde toujours à penser qu'il existe quatre candidats potentiels au rachat de l'ex-écurie officielle: David Richards avec des fonds des Emirats, Achilleas Kallakis soit un riche armateur grec, un mystérieux groupe suisse et, malgré ce démenti, le boss de Telmex.

Reste que sur ce dernier point, la conjoncture tourne à la bouteille à encre puisque de l'euphorie prématurée d'un rachat, on passe à la douche froide de la négation pure et simple: "Il n'y a pas d'achat de l'écurie Honda, il n'existe aucun accord ni aucune négociation", a ainsi déclaré à l'AFP un représentant du groupe, sous couvert de l'anonymat.
















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