Produit en un nombre limité d’exemplaires, on serait presque déçu de le voir disparaître avec la LFA.


Alors, pourquoi Lotus ne pourrait-il pas le récupérer ? Ce qui, en outre, permettrait à Lexus (Toyota) d’amortir le coût de son développement.


Car depuis que Lotus a annoncé il y a quelques heures l’aube d’une ère nouvelle à l’occasion du Mondial de Paris du mois d’octobre, les spéculateurs se sont mis en branle. Et si le V10 de la LFA atterrissait sous le capot d’une nouvelle Lotus ? Pour le moment, l’hypothèse communément partagée évoque le V8 de l’IS-F comme motorisation principale de cette nouvelle Lotus. Mais pourquoi ne pas envisager une version extrême mue par le V10 ?