Il est vingt-deux heures, ne kisskissbankons pas tout de suite.
Sans la Suisse et son système bancaire, le groupe française PSA existerait-il encore ? Répondre à pareille question inepte c’est répondre à une autre question inepte : la France et ses têtes politiques officielles existeraient-elles encore sans la Suisse et son système bancaire ?
Il n’empêche : dans le contexte qui est le nôtre aujourd’hui Banque PSA Finance existe et, n’était-ce les ramifications financières multiples et internationales, le groupe qui la soutient puisque c’est bien un groupe automobile qui lui a donné son nom et que l’industrie automobile est toujours l’activité principale dudit groupe a besoin d’elle, qu’on le déplore ou non.
Alors que le groupe français PSA Peugeot Citroën traverse une période difficile mais que son avenir en terme de design et de technologie s’annonce plus radieux, il est sans doute utile de souligner la nécessité – toutes choses égales par ailleurs ! – d’une entreprise comme Banque PSA Finance.
Maintenant il est toujours possible de kisskissbanker…, de parier sur la seule microéconomie (et ses micro-crédits dérivés) contre la marcoéconomie.
















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