La CGT et SUD avaient pointé de « nombreuses insuffisances » dans le Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) validé par les autres syndicats le 18 mars dernier et qui prévoit la suppression de 8 000 emplois, 1 500 départs naturels et 1 500 départs volontaires. A l’annonce du rendu du TGI de Paris, la CGT et SUD ont fait part de leur décision d’interjeter appel et de poursuivre la grève dans l’usine d’Aulnay-sous-Bois.


La porte est désormais ouverte pour qu’une ultime consultation du comité central d’entreprise entérine aujourd’hui le plan de PSA Peugeot Citroën. Les premiers départs devraient être ensuite assez rapidement effectifs.


Des discussions portant sur la compétitivité des usines du groupe devraient être menées ensuite à partir du mois de mai pour mener, à l’instar de ce qui s’est passé chez Renault il y a peu, à un accord attendu pour le mois d’octobre prochain. Chez Renault, cet accord a notamment permis l’arrivée de la production de la future génération de Nissan Micra dans l’usine de Flins comme annoncé tout récemment.