Déjà enterré le Corrado ? Oula non, ce serait oublier son incroyable potentiel de préparation et ses lignes qui ont encore toute leur fraicheur permettant aux budgets serrés de se réaliser quelques armes efficaces et peu courantes.

Contrairement à Jean Claude Duss, cet exemplaire mise presque tout sur son physique avec une carrosserie épurée, lissée, ou tout devient noir satiné lui donnant une allure très Mad-Max. Une vraie gueule de pitbull grâce à ses jantes posées aux 4 coins, et à sa garde au sol minimaliste offerte par le kit de suspension réglable.

A l'intérieur l'allégement est nerveux avec la suppression de tous les éléments de confort au profit d'un arceau, et de baquets.

Sous le capot heureusement il s'agit d'un VR6, qui reçoit une préparation assez soft avec une admission dynamique alimentée par la prise d'air sur le capot, une gestion électronique travaillée, ainsi qu'une ligne d'échappement complète pour une puissance estimée à 215/220 chevaux.