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À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

Toyota a connu quelques soucis avec son premier véhicule électrique, le SUV Toyota BZ4X. Des soucis qui ont contraint le constructeur à revoir certains de ses éléments avant de la proposer sur le marché européen. Aujourd’hui, ce modèle revu et corrigé est proposé sur le site du constructeur au tarif de lancement à partir de 55 000 €. Le Toyota BZ4X est un grand SUV et s’il est doté de nombreuses qualités à commencer par son habitacle spacieux, il reste pénalisé par une autonomie limitée et des temps de recharges longs. Des recharges qui peuvent être fréquentes si l’on décide d’effectuer de longs parcours. N’est-il pas préférable de s’orienter vers un SUV thermique ou électrifié plus apte à vous satisfaire. C’est pour cela que dans ce nouvel article « À contre-courant » nous vous proposons trois alternatives à ce SUV Toyota BZ4X.

À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

À contre-courant

Les eurodéputés l’ont décidé : plus aucune voiture neuve, essence, hybride ou diesel ne pourra être commercialisée à partir de 2035. Place donc aux voitures électriques dont les ventes augmentent, mais qui ne représentent pour l’instant que 1,5 % du parc roulant en France.

Mais encore trop cher ces voitures électriques ? Pas assez autonomes ? Sans doute, et c’est pourquoi Caradisiac vous propose de ne pas oublier le « thermique » si vous souhaitez acheter une auto, qu’elle soit neuve ou d’occasion. D’ici à 2035, vous avez encore le temps de faire vos emplettes dans les gammes thermiques des constructeurs.

Vous êtes d’ailleurs nombreux à avoir fait ce choix. Ce n’est pas un hasard si le diesel représente (sur l’année 2022) encore plus de 70 % des carburants distribués en France et qu’il représente 50 % des achats de voitures d’occasion et 16 % des voitures neuves. L’essence pour sa part représentant 37 % des achats de voitures neuves et les hybrides qui ont aussi besoin d’un moteur thermique s’affichent quant à elles à 30 %.

Avec sa nouvelle rubrique « À contre-courant », et au-delà du jeu de mots, Caradisiac veut attirer votre attention sur des modèles thermiques plus intéressants que leurs concurrents électriques. Non, le « thermique » n’est pas mort.

 

 

 

 

 

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« Le courant » Toyota BZ4X 204 ch batterie 71,4 kWh (deux roues motrices) Finition Origin à 55 000 €

À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

Avant la commercialisation en Europe, Toyota a corrigé les défauts de son Toyota BZ4X qui étaient apparus au fil des premiers essais. La version corrigée du BZ4X arrive enfin chez nous et nous retrouvons avec plaisir les lignes acérées de ce grand SUV familial de 4,69 m de long. L’habitacle est classique avec une instrumentation numérique de sept pouces, l’écran multimédia tactile se positionne au centre la planche de bord, il mesure 12 pouces avec la finition Origin qui est bien équipée avec de série : jantes en alliage 18 pouces, caméra de recul, régulateur de vitesse adaptatif, climatisation automatique bizone, accès et le démarrage sans clé, chargeur à induction pour smartphone, hayon automatique, feux de route LED adaptatifs, radars de stationnement avec détection d’obstacles, la sellerie en cuir noir synthétique et tissu, etc. À bord, il y a de nombreux rangements, mais pas de boîte à gants, les matériaux sont valorisants lorsqu’ils se situent en hauteur, moins lorsqu’ils sont plus proches du sol et certains assemblages laissent à désirer. Les passagers situés sur la banquette arrière, grâce à l’empattement de 2,85 m ont de l’espace pour leurs jambes. En revanche du côté du coffre on découvre une capacité de 452 litres, cela n'est ce qui se fait de mieux dans la catégorie.

À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

Le Toyota BZ4X est proposé en deux ou quatre roues motrices sur le catalogue du constructeur japonais. Les deux versions disposent de la même batterie de 71,4 kWh (bruts), mais le modèle traction avant n’a qu’un seul électromoteur de 204 ch, tandis que la version à quatre roues motrices dispose de deux moteurs (un sur chaque essieu) et affiche une puissance cumulée de 217 ch. Le constructeur annonce des autonomies allant jusqu’à 503 km (version 4x2) et 461 km (version 4x4). Des autonomies qui seraient possibles de réaliser en ville, mais pas en conditions mixtes. Lors de notre essai nous étions plus proches des 350 km, sachant qu’il conviendra de recharger avant que la batterie soit totalement à plat, ce qui réduira d’autant le kilométrage. Même si cette autonomie est dans la moyenne de la catégorie, cela limite la polyvalence de l’auto, qui sera nécessaire de recharger fréquemment sur un long parcours. À ce propos, le Toyota BZ4X dispose d’un chargeur embarqué de 11 kW et sur une borne charge rapide la puissance de recharge est de 150 kW. À noter que le logiciel du BZ4X dans un souci de préserver la batterie limite le nombre de charges successives à 3,8 charges en 24 heures. Sur la route, malgré le poids conséquent de l’auto (1 970 kg en 4x2), les accélérations sont vives et les reprises assez vitaminées. De plus, le confort est correct et l’amortissement bien calibré maintient ce SUV sur son cap. L’utilisation du freinage régénératif ne perturbe pas le conducteur qui bénéficie d’une sensation plutôt naturelle à la pédale de frein. À noter que le système de régénération est basique et qu’il n’existe pas de planificateur de voyage.

 

Le « contre-courant » avec une motorisation hybride et quatre roues motrices : Toyota Rav4 Hybride 4WD 222 ch Finition Lounge à 52 950 € (Malus : + 240 €)

À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

Dans le catalogue Toyota, le Toyota Rav4 affichant 4,60 m de long est le plus à même de faire la « pige » au Toyota BX4Z. Doté d’une motorisation hybride simple, ce modèle dispose d’une transmission 4x4 grâce à un deuxième moteur électrique sur les roues arrière, il affiche 222 ch (en deux roues motrices avec un seul moteur électrique, la puissance est de 218 ch). Ce modèle affiche une consommation raisonnable de l’ordre de 6,5 litres de carburant sur un parcours mixte et un peu plus de 7 litres si l’on ne circule que sur l’autoroute. Grâce à sa motorisation électrique qui peut entraîner seule les roues avant, ce modèle hybride peut rouler sur 2 à 3 kilomètres en tout électrique. Comme souvent avec les modèles hybrides, si l’on accélère fortement on aura droit à ce que l’on peut appeler un effet de patinage avec un volume sonore qui progresse dans l’habitacle, celui-ci est toutefois moins marqué qu’auparavant. Doté de suspensions souples, ce modèle est plus confortable que dynamique et affiche un comportement routier très sécurisant. La transmission 4x4 qui l’équipe permet de se sentir encore plus en sécurité lorsque les conditions d’adhérence sont mauvaises et surtout sur la neige.

À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

Avec la finition haut de gamme Lounge on a droit un Toyota Rav4 très bien équipé avec de série la sellerie cuir beige, les jantes alliage de 19 pouces, une roue de secours galette dans le coffre, système de démarrage et d’accès sans clé, des barres de toit noires, des radars avant et arrière avec freinage automatique, la caméra de recul, le système sécurité précollision, l’alerte de franchissement de ligne, la lecture des panneaux de signalisation, le régulateur de vitesse adaptatif allant jusqu'à l'arrêt, les projecteurs bi-LED, le système de vision 360°, le système audio premium JBL avec neuf haut-parleurs, un écran couleur tactile de 10,5 pouces équipé de la navigation connectée, etc. La qualité de fabrication dans l’habitacle se révèle correcte et l’ergonomie du modèle est bonne. On apprécie également l’espace aux places arrière et le bon volume de coffre qui affiche 580 litres. Enfin, ce modèle devrait bénéficier d’un restylage dans le courant de l’année 2024.

 

Le « contre-courant » avec un Crossover (mélange de berline, break et SUV) à motorisation hybride rechargeable : Citroën C5 X Hybride rechargeable 225 ch ë-EAT8 Finition Max à 54 420 €

À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

Pourquoi ne pas choisir un mélange des genres plutôt qu’un SUV ? Sur ce point, la Citroën C5 X est séduisante avec son allure de break/berline à panoplie de SUV. D’une longueur de 4,80 m et dotée d’une allure originale, la Citroën C5 X mise avant tout sur son exceptionnel confort pour séduire. Il y a de l’espace à l’avant, de l’espace à l’arrière, des sièges très larges et confortables, des suspensions à butée hydrauliques progressives associées à un pilotage actif. Grâce à une caméra qui lit la route et des capteurs, la suspension de chaque roue devient plus souple ou plus ferme en fonction du profil de la route et la Citroën C5 X se transforme en une sorte de tapis volant. Le volume de coffre est quant à lui limité à 485 litres (545 litres pour la version thermique 130 ch) en raison de la présence de la batterie du système hybride sous le plancher. La motorisation hybride rechargeable de la Citroën C5 X associe un 4 cylindres essence suralimenté, 1.6 Puretech de 180 ch, à un moteur électrique de 80 kW (110 ch), la boîte de vitesses est un modèle automatique à 8 rapports (ë-EAT8). Le moteur électrique est alimenté par un pack de batteries lithium-ion de 12,4 kWh. La puissance cumulée de ce système hybride est de 225 ch et le couple 360 Nm, rappelons que la C5 X est aussi disponible en version hybride rechargeable de 180 ch avec les finitions d’entrée de gamme You et Plus.

À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

La puissance maximale de 225 ch n’est pas la caractéristique que l’on mettra en avant pour cette Citroën C5 X. Au volant, on n’a aucunement conscience d’un tel niveau de puissance. C’est que cette voiture privilégie le confort et la souplesse de fonctionnement, ce qui fait que les kilomètres sont avalés sans aucune fatigue pour le conducteur et ses passagers. On peut alors profiter pleinement des équipements de cette auto, qui dans cette finition haut de gamme « Max » est très bien dotée avec des prises USB-C à l’avant et à l’arrière, un écran d’infodivertissement de 12 pouces avec navigation intégrée, un combiné d’instrumentation numérique un peu petit, mais bien secondé par un affichage tête haute en couleur, des sièges avant à réglages électriques et chauffants, la climatisation automatique bizone, la recharge sans fil pour smartphone, etc. le conducteur sera choyé avec le plein d’aides à la conduite comme la caméra 360°, la détection d'un danger en marche arrière ou l’assistant de conduite semi-autonome de niveau 2. Voiture dotée d’une motorisation hybride rechargeable, on peut compter sur la Citroën C5 X pour faire de substantielle économie de carburant (l’autonomie électrique relevée est de 50 km environ). Cela est valable avec la batterie chargée et sans pratiquer l’écoconduite on peut arriver à un excellent 3,2 l/100 km. Mais attention les batteries vides, ça se corse, même s’il reste toujours un peu d’énergie pour circuler à basse vitesse, la consommation peut grimper, si l'on chatouille de trop la pédale de droite, à plus de huit litres aux 100 kilomètres. Rappelons qu’avec une voiture hybride rechargeable, il est nécessaire de recharger la batterie pour profiter pleinement de l’électrique (rechargez la nuit de préférence pour bénéficier du tarif heures creuses). Avec la Citroën C5 X nous vous conseillons également de choisir l’option chargeur embarqué 7,4 kW (de série : 3,4 kW) à 390 €, ce chargeur plus puissant vous facilitera la vie au quotidien.

 

Le « contre-courant » avec un SUV (4x2) à motorisation hybride et doté de sept places : Renault Espace (7 places) E-Tech Full Hybrid 200 ch Finition Iconic à 49 500 €

À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

Le nouveau Renault Espace 6 est arrivé, ce n’est plus un monospace, mais un SUV qui reprend l’allure générale du Renault Austral, mais le dépasse de 21 cm et affiche 4,72 m de long. Grâce à un empattement de 2,74 m, il peut accueillir deux passagers supplémentaires et transporter sept personnes. On peut également le choisir en cinq, il faut juste le faire à la commande, on perd les deux sièges supplémentaires sans débourser un euro, mais sans que le véhicule soit moins cher pour autant. Le style de ce véhicule (identique à l’Austral) est agréable à regarder, mais sans grande originalité. À bord, la planche de bord fait son petit effet avec du frêne véritable en finition haut de gamme Iconic. La finition est d’un haut niveau, les assemblages précis, la belle tablette verticale de 12 pouces et l’instrumentation numérique de 12 pouces toutes deux réunies dans une dalle en « L » affichent une belle modernité. L’équipement est complet avec de série les roues arrière directrices, les caméras 360°, le parking mains libres, la sellerie cuir gris clair et l’on peut opter pour un toit vitré panoramique traité anti-UV en option (1 000 €) du plus bel effet. À l’arrière on a de la place pour les jambes, mais la largeur est juste correcte, la banquette est coulissante sur 22 cm. Pour ce qui concerne les deux places d’appoint (sixième et septième places) elles conviendront à des personnes mesurant moins de 1,70 m qui auront droit à des porte-gobelets et de prise USB-C. En revanche si ces deux sièges sont confortables, ils sont d’un accès peu aisé. Quant au coffre, sa dimension est ridicule (159 litres) en sept places, mais assez correcte en cinq places (strapontins repliés) et oscille dans ce cas entre 477 et 677 litres en fonction de la position de la banquette coulissante. À noter que si l’on a choisi ce modèle en cinq places de série, on a droit à un volume de coffre supérieur : de 581 à 777 litres.

À contre-courant : les alternatives au SUV Toyota BZ4X

La motorisation Full Hybrid qui équipe ce modèle est la seule disponible. Il s’agit de l’association du nouveau moteur thermique trois cylindres essence 1.2 de 130 ch à deux moteurs électriques, un de 68 ch et un (alternodémarreur) de 34 ch. Une boîte à crabots dotée de quatre rapports thermiques et deux rapports électriques (quinze combinaisons de rapports possibles) qui permet le passage des 200 ch de puissance cumulée sur la route. Sur route justement, le Renault Espace affiche un comportement dynamique et une belle maniabilité, les quatre roues directrices apportant un gain non négligeable à l'agrément de conduite. Si la direction est précise, le freinage change en passant du « régénératif » au « physique », mais rien de rédhibitoire. La suspension est assez ferme ce qui implique qu’elle est quelquefois un peu sèche sur les ondulations de la route ou les raccords de bitume, mais en revanche il n’y a presque pas de roulis. Les performances ne sont pas exceptionnelles avec un 0 à 100 km/h en 8,8 secondes sans que l’on manque de puissance pour autant. La consommation s’établit à 6,3 litres de carburant aux 100 kilomètres (moyenne de l’essai) sur un parcours varié et si l’on s’énerve l’on ne dépasse pas les 7,5 litres. En ville, il est possible de descendre sous les six litres, la « transmission » électrique étant plus souvent sollicitée, quant à la régénération elle est réglable sur quatre niveaux grâce à des palettes au volant. Il y a un bémol cependant, la boîte à crabots au fonctionnement bizarre. Elle donne quelquefois avec de gros à-coups en conduite urbaine et affiche aussi des lenteurs en montée de rapports en cas d’accélération brusque.

Bilan

L’heure du passage à l’électrique a sonné ! Pas tout à fait, tant que l’autonomie de ces autos ne sera pas optimale (quelles que soient les conditions météo rencontrées) et que les temps de charge seront très longs. Pour éviter de passer du temps dans les stations de recharge, la solution est toute trouvée, une motorisation thermique. Comme celles de nos trois alternatives au Toyota BZ4X qui sont astucieusement électrifiées permettant de réduire la consommation. À vous de faire votre choix entre l’historique Toyota Rav4, le nouveau Renault Espace et l’originale Citroën C5 X.

 

 

 

 

 

 

 

 

Toyota BZ4X 204 ch batterie 71,4 kWh (4x2) Finition Origin à 55 000 €

Les avantages

  • La garantie de 70 % de capacité de la batterie lithium-ion pendant 10 ans
  • Le style original
  • L’habitabilité à l’arrière
  • L’équipement complet
  • Le bon comportement routier
  • La souplesse de la motorisation électrique et les bonnes reprises

Les inconvénients

  • Le volume de coffre moyen par rapport à la concurrence
  • La consommation passable
  • La finition et l’assemblage qui déçoit par endroits
  • L’absence de planificateur
  • La régénération basique
  • Le tarif

Toyota Rav4 Hybride 4WD 222 ch Finition Lounge à 52 950 € (Malus : + 240 €)

Les avantages

  • Les performances de l’hybride
  • Le fonctionnement transparent du système hybride
  • L’équipement complet
  • Le confort de roulement
  • L’espace à bord
  • Le volume de coffre
  • Le confort du modèle

Les inconvénients

  • Le comportement peu sportif
  • La présentation un peu austère
  • Le petit malus qui énerve

Citroën C5 X Hybride rechargeable 225 ch ë-EAT8 Finition Max à 54 420 €

Les avantages

  • La possibilité de rouler en électrique sur quelques dizaines de kilomètres
  • Le style décalé
  • Le comportement routier sécurisant
  • Le confort excellent
  • L’équipement haut de gamme

Les inconvénients

  • La consommation lorsque la batterie est vide
  • Le chargeur 7,4 kWh en option
  • Le tarif élevé en finition haut de gamme
  • L'instrumentation numérique trop petite
  • Les performances moyennes du système multimédia

Renault Espace (7 places) E-Tech Full Hybrid 200 ch Finition Iconic à 49 500 €

Les avantages

  • Le dynamisme et les 4 roues directrices
  • La consommation correcte
  • Le très bon niveau d’équipement
  • Le système multimédia Open R Link réactif et ergonomique
  • La banquette coulissante
  • Les deux places en plus

Les inconvénients

  • Les réactions bizarres de la boîte à crabots
  • La pédale de frein « changeante »
  • L’accès à la troisième rangée de sièges
  • Le volume de coffre en sept places

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