
Le marché automobile français ne parvient pas à se relancer. Mais en reculant moins que Renault, Peugeot devient numéro 1 des ventes.
Le marché automobile français ne parvient pas à se relancer. Mais en reculant moins que Renault, Peugeot devient numéro 1 des ventes.
Six ans après le début de l'instruction, les mises en examen sont tombées la semaine passée. Et trois marques françaises sont incriminées : Citroën, Peugeot comme Renault se sont vu signifier par la justice qu'ils avaient trompé leur monde entre 2009 et 2015. Mais six ans ont passé et ces constructeurs, contraints et forcés par les pouvoirs publics européens, ont évolué et se sont adaptés. Ils sont aujourd'hui rattrapés par cette vieille histoire...
Lancée fin 2016, la troisième génération de la Citroën C3 vient d'atteindre le cap du million d'exemplaires.
Un pays où ne subsistent que des riches et des pauvres, sans classe moyenne, est un pays émergent. En France, si l'on se réfère aux chiffres de vente de voitures du premier trimestre, les grandes gagnantes sont les marques low cost et premium. La baisse des généralistes qui s'adressent à ces fameuses classes moyennes ? Peut-être un signe de tiers-mondisation du pays.
Les temps sont difficiles pour les concessionnaires et agents. Entre la digitalisation du processus de vente et la distribution hors de chez eux en passant par le changement de logo de leur marque et la bascule vers le modèle électrique qui réduira l'entretien en atelier, les professionnels de la distribution font l'addition. Et elle est lourde.
Une autre épidémie continue de s'étendre à travers le monde et c'est celle du manque de microprocesseurs. Il touche de très nombreuses industries et l'automobile est aussi fortement impactée. Jusqu'ici plutôt épargnés, les groupes français Renault et Stellantis doivent maintenant ralentir leur production, faute de pièces.
Face à un marché morose, l'usine de PSA va réduire sa production. Une décision provisoire, qui suscite de l'inquiétude auprès des salariés.
Caradisiac vous dévoile en avant-première le palmarès annuel de l’influence numérique des constructeurs automobiles. Renault ravit à Peugeot la première place du classement, grâce notamment à une énorme communauté d’abonnés, tandis que BMW accède au podium en soignant sa stratégie éditoriale.
Ce matin, c'est Renault qui retient toute l'attention de la presse automobile, avec des annonces nombreuses et prometteuses. Mais le reste de la planète auto tourne toujours, et la fusion PSA/FCA est toujours en cours. Et l'on apprend que contrairement aux ambitions initiales, Stellantis, le nouveau groupe issu de la fusion, ne sera pas 4e groupe automobile mondial, sauf miracle.
Qui a gagné ? Qui, de PSA ou de FCA, sera réellement le patron de la nouvelle entité Stellantis qui naîtra le 4 janvier prochain. Les spécialistes s'étripent à coups d'alinéas et d'annexes du rapport de fusion de plus de 700 pages remis à l'Union Européenne pour entériner le mariage des deux constructeurs. Car le sort de quelques marques dépend évidemment de celui qui décidera de leur avenir. Et ce n'est pas forcément celui que les termes comptables désignent.
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