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Dans la Galaxie Stellantis il existe deux marques premium qui interrogent : DS Automobiles et Lancia. La première parce que depuis sa naissance en 2012 les ventes ne sont pas très élevées, la seconde parce qu’après une carrière dans l’anonymat complet, elle revient sur le devant de la scène. Qu’est-ce que Stellantis compte faire d’elles ? C’est ce que nous allons vous expliquer.

DS lance une nouvelle série spéciale en référence à un homme qui a été à la fois écrivain, poète et aviateur français : Antoine de Saint Exupéry.

Il devrait se nommer DS 8. C’est le futur modèle de DS Automobiles, un véhicule bien ancré dans son époque puisque ce sera un crossover, mélange de SUV, de berline et de coupé. Un modèle sur lequel le constructeur compte beaucoup, pour donner une nouvelle dimension à sa marque et passer au tout électrique.

Le nom "Hybride" de ces nouvelles DS 3 et DS 4 est à relativiser car elles ne font que reprendre le groupe motopropulseur essence à 48 volts qui vient d'arriver aussi sous le capot de l'Opel Astra.

La marque DS va simplifier sa gamme pour ne proposer que deux finitions, l’Etoile et la Pallas. Ce niveau Pallas, justement, a été vu pour la première fois sur la DS en 1964.

Ce modèle devrait se nommer DS 8, il s’agit d’un crossover qui sera le mélange d’une berline, d’un coupé et d’un SUV. Il arrivera sur le marché en 2025, il disposera de motorisations 100 % électriques et peut-être hybrides rechargeables. Si le prototype de ce modèle est encore camouflé, il laisse apparaître son profil atypique.

Comme BMW ou Mercedes, DS Automobiles va commercialiser un véhicule blindé en petite série, inspiré du DS 7 Elysée du Président de la République Emmanuel Macron. Avec une motorisation hybride rechargeable de 300 chevaux, mais un niveau de blindage inférieur à celui de certains véhicules de luxe allemands.

Le crossover citadin de DS Automobiles progresse un peu au niveau de l’équipement de série mais le détail des fonctionnalités énumérées par le constructeur dans son communiqué n’a rien d’impressionnant.

Contrairement à d'autres salons où certaines marques françaises étaient absentes, toutes ont fait le déplacement à Lyon et c'est un véritable feu d'artifice de nouveautés tricolores ! Cocorico.

Jusque-là, elle n’avait pas encore eu droit au niveau Esprit de voyage. C’est désormais chose faite, mais il va falloir débourser au minimum 36 450 €.