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DOSSIER – Mélange de marques européennes et américaines, le groupe Stellantis va-t-il mettre sur le devant de la scène la partie italienne de son portefeuille ? La nomination de l’Italien Antonio Filosa en remplacement de Carlos Tavares peut l’indiquer. Mais le fait qu’il dirige le groupe depuis les États-Unis peut vouloir dire le contraire. Alors que pourraient devenir les marques italiennes sous sa direction ?
Stellantis et la société d’autopartage free2move proposent au grand public des Fiat 500e dotées d’une technologie modulaire d’échange de batteries. Plus besoin de recharge la voiture, il suffit de changer sa batterie. De quoi remettre du jus dans les ventes du " pot de yaourt " électrique ?
Le contrat de confiance, voici comment pourrait être nommée la nouvelle stratégie de Stellantis puisque le groupe annonce offrir une garantie de 8 ans ou 160 000 km.
Dès 1974, par le biais de Citroën, Fiat et PSA ont créé des véhicules ensemble, des utilitaires, notamment, avec un certain succès. Une alliance gagnant-gagnant peut-être plus intéressante qu’une fusion…
Ils affichaient la même ambition : transformer des Fiat en furies. Mais Giorgio Ambrosino, créateur de la Siata n'a pas connu la même gloire que Carlo Abarth. Retour sur les autos un peu oubliées de cette petite marque turinoise.
Sans supsens, l'Italien a été désigné à la tête du groupe de 14 marques. Son expérience et sa réussite plaident en sa faveur. Mais elle confirme, en parallèle, la mainmise de l'Italie sur la galaxie.
Break est un mot anglais qui signifie "rupture" ou "casser, cassure". On l'emploie en France pour désigner la variante de carrosserie plus pratique, parfois plus longue, d'une familiale, d'une compacte ou d'une citadine. Elle est équipée d'un hayon, souvent vertical, d'où le terme de "break", puisqu'il y a "cassure" des lignes au niveau du hayon.
La berline déchante et le SUV parade. Au moment ou la Peugeot 508 tire sa révérence, le Renault Austral s'offre un restylage et monte en gamme. De son côté, la Smart #5, autre auto haute sur pattes, fait son premier galop, très loin de la craquante Fiat Seicento des années 90.
Mignonne et minuscule, cette italo-polonaise peut transformer les corvées urbaines en petites parties de plaisir grâce à sa vivacité et sa capacité à se garer partout. Et elle ne coûte pas cher : dès 1 500 €.
Les patrons de l’industrie automobile fustigent les coûts de production et la réglementation européenne qui les obligent à faire des véhicules de plus en plus coûteux. Mais une étude montre que la situation s’explique surtout par le choix d’une montée en gamme perpétuelle.
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