
Le SUV à succès de Skoda se décline en version sportive RS, forte de 340 ch. Effet d’annonce ou vraie occasion de concilier électrique et plaisir pour un prix raisonnable ?
Celui que certains commentateurs de Caradisiac surnomment « Le Schlé », ce qui ne lui plaît guère car l’individu est ombrageux, n’a pas pour particularité que sa couleur capillaire. Il excipe aussi de pathologies mentales, qui le poussent notamment à rouler régulièrement en vieille Fiat. Un fait sur lequel les psychiatres s’arrachent les cheveux, mais qui peut s’expliquer par le fait que les premiers souvenirs automobiles de Stéphane remontent au milieu des années 70, quand son papa, ignorant l’étendue de la perversion de son rejeton, avait innocemment acheté une 132.
Il apprend à lire en découvrant l’Auto-Journal et l’Action Automobile
Difficile à cerner, ne serait-ce que par son gabarit imposant et son appétence pour le second degré, voire l’auto(mobile)-dérision, il avoue d’ailleurs une appétence particulière pour les voitures âgées, mais s’intéresse aussi aux modernes, possédant par ailleurs une BMW Série 1 F20. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, il ne hait pas les électriques, juste l’engouement dont elles bénéficient, injustement selon lui.
Ancien professeur de langues (on plaint ses anciens élèves), il étale sa mauvaise foi proverbiale dans le journalisme automobile depuis 2005, étant passé par de multiples organes de presse, dont Leblogauto, Evo, Octane, voire Top’s Cars/Motorlegend. Plus indépendant que les roues arrière d’une Citroën DS 23, il exhibe parfois sa tignasse fort heureusement inimitable dans les pages d’Autorétro et Rétroviseur, tout en sévissant chez Youngtimers. Comme il nous fait un peu peur, on plaint nos confrères… mais ne le lui répétez pas !
Le SUV à succès de Skoda se décline en version sportive RS, forte de 340 ch. Effet d’annonce ou vraie occasion de concilier électrique et plaisir pour un prix raisonnable ?
En 1999, la Fiat Ecobasic montrait comment une voiture pouvait réduire considérablement sa consommation et son impact écologique tout en demeurant très abordable. Exactement ce dont on a besoin à l’heure actuelle, certains réclamant d’ailleurs des « Kei Cars » à l’européenne. Mais personne n’était prêt pour une auto aussi intelligente et décalée.
Alors que la Clio entre dans sa 6e génération, rappelons-nous celle qui lui a certainement permis de pérenniser son nom : la fantastique Williams. Avec ses 150 ch, elle a terrassé la concurrence et fait baver les passionnés comme rarement !
Sous son look futuriste, la Honda Civic recèle un moteur performant (140 ch) et un habitacle incroyablement pratique. Mieux, la fiabilité est au rendez-vous : plus que jamais, il est intéressant d’oser la différence. Dès 3 500 €.
Après Citroën, Peugeot a racheté Chrysler Europe, groupe qui incluait notamment Simca. Surprise, le sochalien a plus récupéré les moteurs de ce dernier que l’inverse, ce qui a donné des montages assez inattendus.
Discrète, cette GT à moteur central n’attire pas tellement le regard mais, très rigoureusement conçue, elle séduit ceux qui placent le plaisir de conduire avant la frime. Et ça n’a pas de prix. Enfin, si : dès 30 000 €.
Partageant leur moteur, la DS3 et Mini Cooper S présentent pourtant deux approches différentes pour rouler dans une citadine huppée et performante. Leur mécanique a mauvaise réputation, mais les exemplaires fiabilisés sont nombreux et pas très chers : dès 3 500 €. Le jeu en vaut-il la chandelle ?
Dès 1942, Paul Arzens fabrique une citadine électrique dotée d’une bonne autonomie et de performances dignes de ce nom. Un visionnaire peu connu, mais dont les réalisations profiteront à des millions de gens…
Véritable concentré d’Audi, l’A1 de haut de gamme, en 1,4 185 ch puis 1.8 192 ch offre un mix de performances, de confort et de finition unique dans sa catégorie et jamais égalé depuis. Une vraie GT de poche, qualitative et raffinée, qui se déniche dès 7 500 €.
Contrairement à la tendance actuelle, Mazda augmente la taille du moteur pour réduire la consommation, la CX-30 s’équipant d’un 2,5 l atmo développant 140 ch seulement. Cette stratégie porte-t-elle ses fruits ? Vérifions avec une version Takumi à boîte automatique.
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