
Eddy Clio est gaga de supercars, aussi n’a-t-il pas boudé son plaisir quand nous sommes allés à Modène pour essayer la surprenante Maserati MC20. Mais voilà, avant d’immortaliser la voiture, Eddy a frôlé le pire… Et ce n’était pas du tout de faute !
Celui que certains commentateurs de Caradisiac surnomment « Le Schlé », ce qui ne lui plaît guère car l’individu est ombrageux, n’a pas pour particularité que sa couleur capillaire. Il excipe aussi de pathologies mentales, qui le poussent notamment à rouler régulièrement en vieille Fiat. Un fait sur lequel les psychiatres s’arrachent les cheveux, mais qui peut s’expliquer par le fait que les premiers souvenirs automobiles de Stéphane remontent au milieu des années 70, quand son papa, ignorant l’étendue de la perversion de son rejeton, avait innocemment acheté une 132.
Il apprend à lire en découvrant l’Auto-Journal et l’Action Automobile
Difficile à cerner, ne serait-ce que par son gabarit imposant et son appétence pour le second degré, voire l’auto(mobile)-dérision, il avoue d’ailleurs une appétence particulière pour les voitures âgées, mais s’intéresse aussi aux modernes, possédant par ailleurs une BMW Série 1 F20. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, il ne hait pas les électriques, juste l’engouement dont elles bénéficient, injustement selon lui.
Ancien professeur de langues (on plaint ses anciens élèves), il étale sa mauvaise foi proverbiale dans le journalisme automobile depuis 2005, étant passé par de multiples organes de presse, dont Leblogauto, Evo, Octane, voire Top’s Cars/Motorlegend. Plus indépendant que les roues arrière d’une Citroën DS 23, il exhibe parfois sa tignasse fort heureusement inimitable dans les pages d’Autorétro et Rétroviseur, tout en sévissant chez Youngtimers. Comme il nous fait un peu peur, on plaint nos confrères… mais ne le lui répétez pas !
Eddy Clio est gaga de supercars, aussi n’a-t-il pas boudé son plaisir quand nous sommes allés à Modène pour essayer la surprenante Maserati MC20. Mais voilà, avant d’immortaliser la voiture, Eddy a frôlé le pire… Et ce n’était pas du tout de faute !
Dans l’immense caravane du Tour de France cycliste, on a pu admirer, outre une 2CV Cochonou, quelques voitures de la BRI, extraites du musée de la Gendarmerie nationale, notamment un modèle redouté des excités de l’accélérateur : la Renault Mégane III RS.
Conçue avant tout pour les fans de conduite, la Subaru BRZ (et son alter ego Toyota GT86) use d’une recette inenvisageable aujourd’hui pour une sportive : légèreté et puissance raisonnable. Une joyeuse propulsion à préserver, mais aussi à acheter avec prudence…
Variante grand raid du célèbre Defender, l’Octa bénéficie d’une préparation touchant au châssis et au moteur. Le tout se solde par un prix monstrueux : 185 400 €, sans compter le malus évidemment. Le jeu en vaut-il la chandelle ?
Comment une berline aussi bien vendue peut-elle être considérée comme une perle ? c’est simple : les belles Peugeot 504 ont déserté les routes, aussi était-ce une sacrée surprise que d’en débusquer une en super état dans le parking manceau.
C’est l’été, il vous faut une monture performante pour profiter du soleil cheveux au vent durant vos vacances. Nos deux rivales concilient les contraires pour offrir punch, économie et toit rétractable. Laquelle choisir ? Dès 3 500 €
Parmi les voitures qu’on a aperçues dans la caravane du Tour de France, certaines sportives bien particulières ont retenu l’attention : celles de la collection de la Gendarmerie nationale. Notamment un modèle qui a défrayé la chronique en raison de sa non-francitude époustouflante : la Subaru Impreza WRX.
Matérialisation de la sportive parfaite, ou presque, la Lotus Elise S2 distille un plaisir fascinant pour qui aime la conduite pure. Légère, elle n’a pas besoin de beaucoup de puissance pour marcher très fort : une voiture moderne mais déjà d’un autre temps, à collectionner maintenant. Dès 22 000 €.
Une Jaguar à l’italienne ? La De Tomaso Deauville, c’est peu un ça, mais avec un exotisme inimitable conféré par son énorme V8 fourni par Ford. Une berline performante et rarissime qui mérite bien un petit coup de projecteur…
Réputée pour son excellent châssis, la Ford Mondeo II bénéficie aussi d’un V6 enviable, à partir duquel on a élaboré le V12 Aston Martin. Et cette familiale bien motorisée mais sans prétention sportive (elle laisse ça à la ST220) se déniche à très vil prix : dès 3 000 €.
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