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Peugeot veut être moins « banal » que ses concurrents

Pour le nouveau patron de Peugeot, les nouveautés techniques du genre de la direction sans connexion mécanique avec les roues doivent permettre à la marque au lion de se différencier de ses concurrents. Et il espère la faire à nouveau progresser en parts de marché.

Peugeot veut être moins « banal » que ses concurrents
La Peugeot Polygon, censée annoncer le design des futurs modèles de la marque.

Il va y avoir du changement chez Peugeot. Le constructeur français vient de remplacer sa direction et travaille sur une toute nouvelle génération de voitures, dont la nouvelle citadine 208 attendue d’ici l’année prochaine.

Vous le savez, cette nouvelle 208 doit inaugurer une petite rupture technologique avec les autres modèles de la marque au niveau de sa direction : son « Hypersquare », petit volant carré dont les concept-cars Inception et Polygon donnent un aperçu, ne sera pas connecté mécaniquement aux roues avant. Comme sur le Tesla Cybertruck et le Lexus RZ, il agira sur le train avant via un système entièrement électrique dépourvu de colonne de direction.

Peugeot veut être « moins banal que les autres »

Comme l’explique le nouveau directeur de la marque Alain Favey aux journalistes anglais de Top Gear, il veut tout faire pour positionner Peugeot parmi les marques les plus créatives du marché : « il y a beaucoup de concurrence actuellement mais je vois un océan de banalité. Peugeot a un très bel héritage, innove et possède un vrai style français. On veut se différencier des autres plutôt que d’en rajouter à la banalité ambiante. Et il faut qu’on passe à la vitesse supérieure », déclare-t-il.

Il ajoute que le fait de ne plus proposer de version GTI au catalogue était une erreur, ce badge faisait partie de l’héritage naturel de la marque. Et c’est l’évolution des normes du marché qui l’oblige à être électrique : « en France, une 208 GTI thermique serait assommée par le malus », rappelle-t-il.

Regagner des parts de marché, évidemment

Pour Alain Favey, le but sera aussi de regarder des parts de marché dans les années à venir : « seulement 5 % des voitures neuves vendues en Europe actuellement sont des Peugeot alors que ce chiffre était de 7 % avant la pandémie. On n’est pas à notre plein potentiel. On a augmenté nos prix trop vite après le Covid et nous nous sommes un peu perdus auprès de nos clients particuliers. Vous verrez, notre communication va aussi changer », assure-t-il.

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