Le petit cabriolet nippon nous a agréablement surpris par son agilité, due en grande partie à son faible diamètre de braquage (9,2 m).

Les manœuvres deviennent dérisoires et la Daihatsu Copen se faufile bien plus facilement dans la circulation qu’une Mazda MX-5. En véritable kart, la Copen ne craint pas les passages dynamiques malgré son châssis à la rigidité franchement passable. En dépit des efforts effectués par Daihatsu, qui affirme avoir rigidifié le châssis et les structures de caisse de son cabriolet, la baie de pare-brise branle à chaque coup de volant et la caisse se tortille dans les courbes appuyées ou sur les mauvais revêtements. Pour le confort, il vous faudra investir dans une préparation H, si vous souhaitez parcourir plus de 500 km, car les suspensions courtes de la Copen souffrent d’une très mauvaise filtration.