Conclusion : 4 – 1 pour l’essence

Comme on le constate, le diesel n’est pas gagnant à tous les coups, loin de là ! S’il est vrai qu’une partie du surcoût à l’achat se recupérera à la revente, il ne faut pas oublier de comptabiliser également le kilométrage moyen supérieur effectué par ces diesels, guère plus fiables et durables de nos jours que les moteurs à essence. Alors, pour gagner moins de 244 euros tous les 10 000 kilomètres (selon la moyenne de nos cinq essais) et perdre en agrément (le bruit, plus que les performances), le jeu en vaut-il la chandelle ? À vos calculettes pour déterminer votre seuil de rentabilité en fonction de votre propre kilométrage annuel et… bon choix !