Caractéristique la plus spectaculaire du minispace Opel dévoilé en première mondiale au salon, des portes arrières à ouverture antagoniste, dont la charnière est implantée sur le montant arrière. Un choix censé faciliter l’accès à bord des passagers, mais aussi la tâche de parents devant boucler la ceinture de leur progéniture, lesdites portes s’ouvrant à la quasi-perpendiculaire (84°). Opel prend toutefois soin de préciser qu’un système verrouille le tout dès que la voiture dépasse les 4 km/h, et que la sécurité se voit renforcée par un système d’alarmes en cas de problème C’est bien le moins.

Mais ne réduisons pas l’auto à ses portières, car celle-ci multiplie les astuces de conception à bord afin de tirer le meilleur parti possible de ses 4,25 m (soit 19 cm de plus que la génération précédente). Citons ainsi l’ingénieuse console centrale baptisée « FlexRail », qui présente l’avantage d’être amovible, coulissante et surmontée par un accoudoir, ou bien encore ces nombreux petits espaces de rangement parsemant l’habitacle. Pratique, donc. Dans cet esprit, signalons également l’astucieux procédé FlexSpace améliorant l’espace disponible à l’arrière, hérité du premier Meriva. Le volume utile augmente sans qu’il soit nécessaire d’enlever un seul des trois sièges, lesquels libèrent un plancher plat quand on en rabat le dossier. Enfin, impossible de faire l’impasse sur le porte-vélos intégré au châssis (système inauguré par la Corsa), et qui coulisse dans le bouclier arrière quand il n’est pas utilisé.

Futé comme tout, le Meriva n’en néglige pas pour autant certains raffinements, tel ce toit panoramique optionnel d’une longueur de près de deux mètres, et que peut occulter un store électrique, ou bien encore (toujours en option) ces phares auto-adaptatifs pouvant éclairer l’intérieur des virages. Motorisations essence et diesel de 75 à 140 ch, commercialisation au printemps.

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