
L’INFO DU JOUR - À quatre mois de l’échéance, tous les candidats se sont prononcés sur la place qu’ils souhaitent réserver à la voiture dans la capitale. Si, sans surprise, les postulants de gauche sont opposés à l’automobile, la droite comme le centre droit n’y sont pas si favorables que ça. Une position et une prudence somme toute logique.


















