En tentant une mesure de protectionnisme, le président de la République tente de manœuvrer comme Joe Biden et son IRA. Comme lui, il envisage un programme destiné, entre autres, à empêcher les constructeurs chinois d'envahir le marché local. Mais la France n'est pas l'Amérique.
S'il est programmé pour l’an prochain, le Dacia Duster n’attend pas la fin d’année pour nous faire admirer ses formes, encore faut-il les imaginer sous l’épais camouflage qui le recouvre.
On parle beaucoup du bonus écologique, qui fait baisser le prix des voitures électriques de 5 000 €, voire 7 000 €. Mais il existe d'autres aides. Elles sont cumulables et peuvent "théoriquement" grimper jusqu'à 22 000 € et rendre une Dacia Spring presque complètement gratuite (184 €), ou abaisser le prix d'une Tesla Model 3 d'entrée de gamme à 19 990 € ! Oui, mais en pratique, il faut rentrer dans toutes les bonnes cases, car les aides ne sont pas toutes pour tout le monde...
À la vue des prix pratiqués sur le marché de l’occasion, il serait tentant d’aller voir ce qu’il se passe à l’étranger, chez nos voisins européens. Seulement, l’herbe y est-elle plus verte ? Y a-t-il la possibilité de faire des économies ?
Champion des produits au juste prix, Dacia est un constructeur automobile plébiscité par les Français. Selon son directeur marketing, Sylvain Coursimault, avec qui Caradisiac s'est entretenu, la réussite de la marque réside notamment dans sa capacité à répondre aux aspirations de l'époque.
Tant que les tarifs resteront élevés, le marché de l'électrique peinera à décoller. Toutefois, de premiers signaux positifs commencent à émerger çà et là.
Besoin d’espace et d’une grande soute pour transporter armes et bagages ? Les SUV et les variantes break remplissent parfaitement ce contrat, mais avec une philosophie différente. Prix, volume de coffre, aspects pratiques, laquelle des deux variantes est à privilégier ?
Guerre des prix en Chine, velléités de produire des voitures électriques à moins de 25 000 euros : les signes d’un changement de stratégie apparaissent sur la planète auto. La folie du « produire moins pour gagner plus » a peut-être enfin du plomb dans l’aile, pour le meilleur et pour le consommateur.
Pour vendre sur le marché local l'une des voitures les moins chères du moment, les publicitaires brésiliens lui ont concocté l'un des spots les plus chers du même marché. Dans cette pub, la Renault low cost affronte un dragon et sauve des ados super-héros, pas moins.
Ce n'est pas un fan du thermique qui le dit, mais une ONG plutôt écolo. Pour Somo, c'est son nom, la hausse des ventes d'autos zéro émissions verra les besoins en gigafactories multipliées par 17 en Europe et aux États-Unis. Des usines à batteries qu'il faudra alimenter en minerais venus de pays émergents qui n'en profiteront pas. Une vieille histoire de néocolonialisme ?
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