Les patrons de l’industrie automobile fustigent les coûts de production et la réglementation européenne qui les obligent à faire des véhicules de plus en plus coûteux. Mais une étude montre que la situation s’explique surtout par le choix d’une montée en gamme perpétuelle.
Rien ne va plus entre les tourtereaux d'antan. Le président de Renault a claqué la porte du conseil d'administration de Nissan et n'attend qu'une chose : se débarrasser des actions qu'il détient chez ce dernier. Mais en parallèle, le Français doit veiller à ce que le Japonais aille mieux pour qu'il puisse les valoriser. Règlements de compte à OK Nissan.
Dans ce nouvel épisode d’Auto-Focus, le podcast audio Caradisiac, nous nous intéressons à Dacia, la marque qui monte, qui monte…et n’en finit pas de progresser malgré une gamme relativement réduite. Son secret, si tant est qu’il y en ait un ? En donner pour son argent à l’automobiliste, quand la plupart des concurrents peinent à contenir leurs tarifs. Après avoir passé en revue les forces et faiblesses des modèles de la gamme avec Manuel Cailliot, nous poursuivons l’analyse avec Michel Holtz en nous posant la question suivante : Dacia peut-il pérenniser son modèle ad vitam ?
L’ancien patron de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi ne se prive pas de critiquer l’état actuel de Nissan et en profite pour dédaigner aussi Renault, même s’il reconnaît que le groupe au losange est « bien managé ».
L'INFO DU JOUR. Dans une interview croisée accordée au Figaro, les patrons des groupes Renault et Stellantis plaident pour une simplification des règles du marché européen, seul moyen selon eux de renouer avec une automobile "populaire". Si rien n’est fait, ils redoutent à l’inverse une division de moitié du marché européen à l’horizon 2035.
La toute dernière Renault 4 E-Tech électrique inaugure à l'usine de Maubeuge un nouveau système de peinture pour les modèles vendus en configuration "bi-ton". La carrosserie n'est plus "peinte", mais "imprimée" selon le procédé "Jetprint Paint". On vous explique.
L'INFO DU JOUR. Si les 155 000 € réclamés par Renault aux futurs acquéreurs de la R5 Turbo 3E semblent démesurés, ils sont surtout le signe que l'entreprise a retrouvé une pleine confiance en elle-même après une passe particulièrement délicate.
L’actuel président du groupe Renault va quitter le conseil d’administration de la marque nippone. Il est également suivi de Pierre Fleuriot, le représentant de Renault.
L’entité Horse, spécialisée dans les moteurs thermiques va dévoiler un ensemble hybride pour remplacer les moteurs électriques. Il s’agit en quelque sorte de rétrofit inversé.
Le match entre les deux plus grosses marques automobiles françaises s’annonce serré en Europe cette année. En 2024, c’est Renault qui avait gardé l’ascendant sur Peugeot.
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