Selon les responsables de Lexus, les acheteurs européens du RX 400h devraient être séduits prioritairement par l’image technologique de l’engin, par son budget carburant en baisse qui le rapproche de ses rivaux gazolés et enfin par son impact moins sévère sur l’environnement que ses congénères.

Le 3,3litres de 211 ch est secondé par deux moteurs électriques, l’un de 167 ch à l’avant et l’autre de 67 ch entraînant les roues arrière. Le tout correspond à une puissance maximale cumulée de 272 chevaux. Le système Hybrid Synergy Drive permet d’optimiser le rendement global en jonglant entre le moteur thermique, les moteurs électriques, le générateur et la batterie haute tension.

Qu’en est-il des performances ? Nous avons atteint 210 km/h. Chiffres très proches d’un Nissan Murano. Là où le RX 400h enfonce le clou, c’est en circulation urbaine dense où il dépasse rarement les 10 litres. Incroyable pour un véhicule de 2 tonnes. Dans tous les cas, le RX 400h accroît son avantage quand le thermomètre grimpe, l’excellente climatisation profitant d’un compresseur électrique aussi économe en énergie que novateur. En définitive, il affiche un rapport performances/consommation effectivement imbattable dans la catégorie des SUV avec une chute des émissions est encore plus spectaculaire : 192g/km de CO2, soit près de 37 % en moins par rapport à des SUV V6 essence concurrents.