Chez Abarth, sportivité ne rime pas avec dépouillement. Ainsi, la 500 Abarth est très bien équipée pour une sportive.

Essai vidéo - Abarth 500 : petite mais méchante

La seule finition existante est particulièrement complète. Elle comprend 7 airbags (conducteur et passager, de toit, latéraux, et genoux conducteur), toutes les aides électroniques classiques (ABS, EBD, ESP, AFU, ASR et "Hill Holder" (système d'aide au démarrage en côte)), la fonction overboost, l’indicateur de changement de rapports, le Torque Transfer Control), les jantes 16 pouces, le kit carrosserie, le manomètre de pression du turbo, les sièges sport, la climatisation automatique, la centralisation, les vitres et rétroviseurs électriques, la radio CD MP3 avec commandes au volant et le système Blue&Me.

La liste d’options est relativement modeste. Elle se compose toutefois de quelques originalités comme le dispositif Blue&Me Map Abarth qui comporte la navigation Europe et des fonctions télémétriques comme un vrai modèle de course. A retenir également les différents types de jantes 17 pouces, la sellerie cuir ou le toit panoramique ouvrant ou fixe au choix. Abarth adopte également la même politique que la maison mère pour la Fiat 500 avec la possibilité de coller des stickers sur les portes ou le toit. Des autocollants valant 250 €/pièce.

Commercialisée officiellement le 15 septembre prochain, la 500 Abarth sera vendue 18500 €. Dans l’absolu, ces tarifs sont élevés car il faudra débourser 16000 € pour la Renault Twingo RS et 15 900 € pour une Suzuki Swift Sport. La différence avec la plus chère des Fiat 500 est également conséquente puisqu’elle se monte à 3 600 €. Toutefois, malgré ces prix élitistes, la 500 Abarth est déjà assurée de rencontrer le succès et s’affirme peut être même comme le véhicule tendance de la fin de l’année à l’image d’une Mini.