Livré en série avec une transmission intégrale permanente (4 roues motrices), le Daihatsu Terios bénéficie d’un blocage de différentiel central qui répartit le couple en connectant directement les essieux avant et arrière. La même puissance est distribuée sur les 2 essieux.

Essai - Daihatsu Terios : baroudeur des villes

Ce mode dédié au tout-terrain, s’avère utile pour les légers franchissements comme les ornières, les passages boueux voire la neige. Mais en cette saison, il était difficile de le tester sous ces conditions. De plus le pont arrière à glissement limité transfère entièrement la puissance d’une roue à l’autre en cas de perte d’adhérence. Quoi qu’il en soit, le Terios se montre à l’aise, voire agile, sur les terrains abîmés notamment grâce à son diamètre de braquage réduit (9,8 m) et ses bons angles d’attaque (38°) et de sortie (40°). Les pneumatiques Dunlop GrandTrek qui chaussent le Terios en série sont peu recommandables en offroad en raison de leur faible grip.

Essai - Daihatsu Terios : baroudeur des villes

Toujours en offroad, le Terios combine les aides au franchissement comme le contrôle de démarrage en côte (HAC) et le contrôle de descente (DAC). Utiles pour se sortir de situations difficiles. Sur route le 4x4 compact bénéficie des aides à la conduite classiques comme l’ABS, et le VSC (contrôle de stabilité). Si globalement, il se montre sûr et sécurisant, le Terios pâtit de suspensions à la détente trop sèche à notre goût. Mais en ville, son terrain de prédilection, le Terios est à l’aise, agile, et facile à manoeuvrer.