Comme le constatait Alexandre, lors du premier essai, cette nouvelle génération de Série 3 change esthétiquement. Il ne s’agit pas d’une révolution mais d’une vraie évolution significative puisqu’elle possède une identité spécifique qui devrait se retrouver sur les prochains modèles de la marque et qui lui permet de de la différencier de la génération précédente. Elle se compose au niveau de la face avant de la calandre traditionnelle formée des deux naseaux aplatis pour l’occasion et de projecteurs effilés. Que les puristes de la marque se rassurent, on reconnaît toujours facilement l’appartenance de cette Série 3 à la firme munichoise.


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Dans l’habitacle, pas de surprise puisque la qualité d’assemblage progresse, comme on avait pu le voir sur la Série 5. Difficile d’émettre de grosses critiques même si on n’est pas au niveau encore d’une Audi mais on s’en rapproche très fortement. Bilan plus contrasté pour les aspects pratiques qui s’améliorent sans devenir pour autant les références de la catégorie, et ce malgré une longueur qui grandit d’une dizaine de centimètres pour atteindre 4,62 m. C’est vrai pour le volume de coffre avec 480 litres et l’habitabilité arrière.