2. Sur la route : à quelques détails près…

Avec leur architecture et leur mécanique identiques, les Volkswagen Golf et Seat Leon affichent en toute logique des prestations très proches sur la route. Pour ce comparatif, nous avons choisi leur motorisation essence à micro-hybridation 1.5 eTSI de 150 ch et boîte automatique DSG7. Une installation qui permet une récupération d’énergie au freinage, stockée dans une petite batterie et redistribuée à l’accélération (9 kW, 50 Nm) afin de contenir les consommations. Un choix rationnel qui malgré la puissance confortable, offre des performances juste suffisantes dans les deux cas.

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 Lors de notre essai, nos deux compactes ont affiché une consommation raisonnable d’environ 7,4 l/100 km. Côté comportement, la Leon profite de son amortissement un poil plus ferme et de sa direction plus directe pour justifier son image plus dynamique. Sans être réellement plus efficace, elle s’avère plus vive dans ses changements de cap et profite d’un maintien de caisse plus ferme.

Cela se paye par un confort moins conciliant à basse vitesse, même lorsque le mode Confort de l’amortissement piloté est sélectionné (finitions FR avec jantes de 18 pouces, contre 17 pour la Golf Style). L’allemande est plus douillette dans ce domaine. C’est d’ailleurs le point fort de cette nouvelle Golf qui profite par ailleurs d’un habitacle bien insonorisé.

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 L’inertie est plus sensible à son volant mais rien qui ne compromette la sérénité à bord. C’est d’ailleurs la carte jouée par les deux cousines, qui laissent aux Ford Focus et Peugeot 308 le terrain du dynamisme. Toujours saines dans leurs réactions, stables quel que soit le revêtement et surveillées par un ESP finement calibré Golf et Leon rassurent, à défaut de donner réellement le sourire.

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