Cette Logan-là, de deuxième génération, est bien « la berline qu’il nous faut ». Aucun vice rédhibitoire ne vient ternir un bilan flatteur. Par rapport à sa devancière, la Logan s’est bonifiée et est maintenant plus cossue. On privilégiera le bas sinon le milieu de gamme, la finition huppée Lauréate apportant plus d’inconvénients que d’avantages ; surtout elle s’avère trop coûteuse par rapport à l’idée des tarifs que l’on se fait d’une Dacia. Au moment de choisir, on pourra toujours chercher une concurrente directe à cette Logan. On aura du mal à en trouver. Soit elle sera beaucoup plus chère pour des prestations basiquement équivalentes soit il n’en existe pas encore (Volkswagen ne proposera pas de concurrente avant quelques années, Peugeot ne commercialise pas en France sa 301), à moins de considérer une autre Dacia, la Sandero par exemple, ou d’attendre la future Citroën C4-Cactus, certes positionnée différemment, pour voir si match il y aura.