Virage stylistique chez Mitsubishi, donc, avec cette nouvelle face avant qui apparaît comme plus mature mais qui risque également de moins bien vieillir. Il faudra toutefois attendre de rencontrer le nouveau Mitsubishi Outlander en personne pour se forger une opinion plus définitive sur le sujet.


Avec ce nouvel Outlander, Mitsubishi souhaite également s’affirmer sur le territoire de la technologie. Le gros SUV sera donc proposé avec une panoplie complète d’équipements de sécurité, depuis la détection d’obstacles FCM au régulateur de vitesse adaptatif ACC en passant par l’alerte de franchissement de bande blanche LDW.


L’offre mécanique restera traditionnelle pour la catégorie au lancement : les motorisations diesels seront assurées par le 2.2 turbo MIVEC et la partie essence sera prise en charge par le 2.0 SOHC MIVEC. Le travail sur l’aérodynamique annonce des progrès sur les consommations et les rejets de CO2, mais pour l’instant, le seul chiffre avancé par Mitsubishi concerne le modèle 2 roues motrices à boîte manuelle 6 vitesses équipé du Stop&Start, qui promet moins de 130 g de CO2 rejetés par km. Une version plug-in hybride devrait toutefois rejoindre la gamme en début d’année prochaine.


Attendons désormais de voir ce que les bureaux de PSA font de cette base appelée à remplacer les Citroën C-Crosser et Peugeot 4008.