« Encore une déclinaison ! » soupirent les grincheux. Mais lorsqu’on possède une base aussi bonne que celle de la Mini, on aurait tort de ne pas multiplier les saveurs. Ce que propose le Mini Roadster, c’est de reprendre la formule du coupé avec les cheveux au vent : disparition des places arrière (de toute façon principalement décoratives), un centre de gravité légèrement abaissé par rapport au cabrio, des roues rejetées aux 4 coins et une gamme de moteurs culminant avec une John Cooper Works de 211 ch capable de franchir le cap des 100 km/h en 6,5 sec.


Pour les plus timides, les autres motorisations du coupé resteront disponibles, avec la Cooper 122 ch, la Cooper S de 184 ch et la Cooper SD de 143 ch. Dans tous les cas, cette puissance pourra être transmise aux roues avant grâce à une boîte manuelle à 6 rapports ou une automatique avec palettes au volant.


Dans l’esprit de légèreté qui anime la Mini Roadster, la capote n’est pas automatisée et se déploie, à l’image de celle d’une Mazda MX-5, d’un geste de la main.


Les tarifs s’étalent de 23 350 € (Cooper) à 34 700 € (JCW) et il faudra débourser 29 050 € pour profiter des vocalises du moteur Diesel.