Jusqu’alors la gamme Twingo était relativement simple. Désormais, les choses deviennent plus complexes avec pas moins de six finitions : (Twingo, Authentique, Expression, Initiale, Dynamique et GT)

L’accès de gamme met l’accent sur la sécurité avec l’ABS et l’aide au freinage d’urgence et le double airbag. Attention, pas de direction assistée, ni de vitres électriques ni de banquette coulissante à ce niveau qui est simplement un ticket d’entrée. Disponible uniquement avec le 1.2 60, la Twingo devrait inquiéter les Citroën C1 en finition de base voire même certaines coréennes.

Le deuxième niveau dénommé Authentique s’enrichit de la direction assistée, des vitres électriques, de la direction assistée, de la condamnation des ouvrants en roulant et du réglage en hauteur du volant, des baguettes latérales et de rétroviseurs noirs. Commercialisé avec le 1.2 60 ch et le 1.5 dCi 65 ch, il constitue une finition intéressante pour ceux qui recherchent une voiture relativement bien équipée.

La 3e finition (Expression) qui se distingue seulement par le dossier du siège transformable en tablette et des sièges arrières indépendants et coulissants a l’avantage d’être vendue avec un plus grand choix moteurs. Une caractéristique qu’elle partage avec les finitions supérieures Dynamique et Initiale

La première accueille une sellerie avec surpiqûres oranges, des airbags latéraux, une planche de bord carbone foncé et un compte-tours. À l’extérieur, elle se pare d’un bouclier sport avec une grille au style spécifique, des antibrouillards encadrés par un enjoliveur gris satiné et des rétroviseurs extérieurs ton caisse. Ce niveau devrait représenter le plus gros des ventes, environ 20%.

Essai - Renault Twingo 2 (II) : une succession trop lourde ?

Comme sur la première génération et bien d’autres modèles de la marque, le haut de gamme est badgé Initiale. Dotation particulièrement complète avec entre autres le capteur de pluie et de luminosité, le radar de recul, la climatisation régulée, la sellerie cuir, la peinture métallisée, les jantes aluminium 15 pouces, les baguettes latérales et les rétroviseurs ton caisse. Très bien pourvue mais très onéreuse. Jugez-en par vous même 14 700 € pour le 1.2 16 75 ch et même 16 200 € pour la version diesel. Il faudra casser sa tirelire.

Essai - Renault Twingo 2 (II) : une succession trop lourde ?

La principale nouveauté de la gamme Twingo réside dans l’arrivée d’une finition GT. Une grande première pour un véhicule de ce segment. Seul la Mégane dispose à l’heure actuelle d’une telle finition. Voulant jouer la carte du dynamisme et de la sportivité, la Twingo GT est uniquement associé au 1.2 TCE de 100 ch. Elle se différencie par un bouclier sport qui intègre un marquage GT, des baguettes latérales ton caisse, des roues aluminium sport 15 pouces, une sortie d’échappement chromée, des bas de marche siglés GT, un becquet arrière et des coquilles de rétroviseur gris satinés. À l’intérieur, outre le volant et pommeau du levier de vitesses en cuir, on trouve aussi la climatisation manuelle et l’autoradio 80 W avec lecteur de CD MP3 et prise audio RCA.

Essai - Renault Twingo 2 (II) : une succession trop lourde ?
Essai - Renault Twingo 2 (II) : une succession trop lourde ?

Fidèle à sa politique de personnalisation, Renault a développé de nombreux accessoires. Parmi les plus cocasses, citons le tapis antidérapant pour la planche de bord (30 €), l’organizer-box (bac de rangement-20 €) , la Make-Up Box (bac de rangement et miroir (30 €) et la Light-box (torche additionnelle composé d’un Dot-it de chez Osram ( 30 €) Dernier raffinement : l’Audio Connexion Box qui permet de connecter l’autoradio à tous les appareils existants grâce à divers périphériques.